10.10.1937


16.03.1974



13.02.2010

Questions

Le titre interrogatif reste un point controversé.  Certains responsables éditoriaux estiment qu'un titre ne doit pas apporter des questions mais seulement des réponses. Toutefois les autres ne voient aucune raison de proscrire ainsi le bon vieux point d'interrogation. Encore faut-il qu'il soit posé à bon escient...

Il y a des questions qui s'imposent, comme celle du Pèlerin, mais qui, dans le même temps, soulignent cruellement l'incapacité à y répondre.

14.05.1958

Il y a des questions que l'on sait aujourd'hui excellentes, comme cet article sur les changements climatiques induits par l'activité humaine, mais dont la réponse (à l'origine du mythe de la bombe qui "détraque le temps") est nettement plus discutable.

Il y a aussi des questions qui, toujours avec le recul du temps, semblent assez curieuses : comment ne pas rapprocher cette couverture alarmante sur les avions de 300 places de l'enthousiasme avec lequel la presse célébrera, quelques décennies plus tard l'envol de l'A380 capable d'emporter plus de 800 passagers. Mais est-elle pour autant devenue une mauvaise question ?

Et puis, il y a les six fameuses questions de bases (qui ? quoi ? où ? quand ? comment ? pouquoi ?) que répètent inlassablement les manuels de journalisme. Mais ils oublient une septième question, tout aussi typiquement journalistique, que La Presse (Montréal) n'hésite pas à poser sans détours.